Découvrir Hyères autrement !

https://www.youtube.com/watch?v=4RkKGRxiBMk

Hyères, une ville du littoral varois !

Embarquez à bord de notre bateau pour découvrir la célèbre ville aux 7 000 palmiers : Hyères – Les – Palmiers.


Tout d’abord, nous allons vous énoncer quelques lignes sur l’une des stations balnéaires les plus visitées du Sud de la France.

A quelques kilomètres de Toulon et de Saint Tropez, la cité varoise longe la mer sur 40 km. Elle est située à l’embouchure du Gapeau.

Son littoral est extraordinaire, par son étendu mais également par sa diversité.

La superficie de son plan d’eau de 27.000 ha offre une véritable aire de jeux pour les amateurs de glisse et les nombreux plaisanciers !C’est l’un des points de départ préférés des visiteurs pour aller explorer les beautés de la Méditerranée.

Depuis les divers ports (port de l’ayguade, port de la Capte Port principal St pierre)), vous pouvez partir à l’assaut du parc national de Port – Cros/Porquerolles (il est le plus ancien parc marin en Europe. Les deux îles occupent 1700 ha de terres émergées et 2900 ha de surfaces marines) et des nombreux petits îlots ( îlot de la Gabinière, les Fourmigues, Rocher du Rascas…) qui le compose. 


Les îles d’Or comprennent les deux îles du parc national ainsi que l’île du levant.

Les géographes antiques les appellent les îles Stoechades qui signifient les « alignées », plusieurs auteurs ont repris ces termes.

A l’époque, les îles sont un lieu de passage maritime fortement fréquenté par les différents navires.

Malheureusement cette appellation n’a pas survécu à l’antiquité.

La ville d’Hyères est chargée d’Histoire, même aujourd’hui de nombreux sites en portent encore les traces.


L’évasion Bleue vous propose des balades en mer durant la saison estivale entre amis, ou en famille (A partir du mois d’Avril jusqu’au début du mois de Novembre) pour partir à la conquête des îles d’Hyères et remonter le temps.

Nous vous ferons découvrir des paysages dignes des cartes postales !

« C’est ce que j’aime, dans les îles : elles ont gardé un mode de vie plus rudimentaire que les continents. Elles demeurent plus près du monde sensible, du ciel, et de l’eau, puisqu’elles en sont cernées, et, en quelque sorte, prisonnières. Quelque chose d’essentiel a, ici, survécu : un lien primitif avec le monde, un contact jamais vraiment dénoué, la certitude qu’une autre vie est possible, au plus près d’une vérité oubliée. » Les Vrais bonheurs de Christian Signol

 

@ Bientôt sur l’eau 

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